Auteur/autrice : Florence Paterson

Liliana Doganova

A la croisée de la sociologie économique et des STS (Science and Technology Studies), les travaux de Liliana Doganova portent sur la construction des marchés et les dispositifs de valorisation.

Antoine Hennion

Antoine Hennion est entré au CSI en 1974 en tant qu’étudiant à l’École des Mines, avec une bourse de recherche pour étudier l’industrie du disque. Conduit sous la direction de Jean-Pierre Vignolle, le travail portait sur deux petites firmes de…

Alexandre Mallard

Alexandre Mallard a réalisé ses premières recherches en sociologie des sciences et des techniques. Après sa thèse portant sur la coordination de l’action par les instruments, il a passé une année post-doctorale à l’institut Max Planck d’Histoire des Sciences de Berlin.

Cécile Méadel

Cécile Méadel a consacré l’essentiel de ses travaux aux usages des techniques de communication. Historienne de formation, elle s’est d’abord intéressée à la généalogie des médias (radio, télévision haute définition, informatique) en étudiant plus particulièrement la manière dont les concepteurs,…

Fabian Muniesa

Fabian Muniesa est actuellement directeur de recherche au Centre de sociologie de l’innovation de Mines Paris – PSL. Initialement formé à la sociologie, ses domaines d’expertise incluent la sociologie des sciences et des techniques, l’anthropologie économique et les sciences de…

Vololona Rabeharisoa

Vololona Rabeharisoa s’intéresse à l’implication croissante des organisations de la société civile dans les activités scientifiques et techniques. Elle étudie les transformations que cela induit sur les modalités de production et de dissémination des connaissances d’une part, sur les formes de mobilisation collective d’autre part.

Brice Laurent

Brice Laurent s’intéresse aux relations entre la fabrique de la science et la construction de l’ordre démocratique. A travers une approche directement issue des Science and Technology Studies, ses recherches portent sur les dispositifs qui lient les programmes de recherche, la fabrication des objets techniques et la production de différents types de publics.

David Pontille

Les travaux de David Pontille s’inscrivent au croisement des science and technology studies, des workplace studies, et de l’anthropologie de l’écriture. Sa première recherche sur l’authorship en science avait un double objectif : spécifier les critères d’agencement des noms sur les articles scientifiques, identifier des conceptions de l’auteur différentes à la fois de sa définition littéraire et de sa description « comptable » promue en scientométrie.

Madeleine Akrich

Madeleine Akrich a consacré l’essentiel de ses travaux à la sociologie des techniques, en s’intéressant spécifiquement aux usagers : elle a essayé de comprendre comment les innovateurs, concepteurs, promoteurs de dispositifs techniques construisent des représentations des usagers auxquels ils destinent leurs dispositifs et inscrivent ces représentations dans les choix techniques et organisationnels qu’ils effectuent, produisant ainsi des «scénarios» qui cadrent les relations possibles entre les usagers et les dispositifs.