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Vololona Rabeharisoa

Vololona Rabeharisoa s’intéresse à l’implication croissante des organisations de la société civile dans les activités scientifiques et techniques. Elle étudie les transformations que cela induit sur les modalités de production et de dissémination des connaissances d’une part, sur les formes de mobilisation collective d’autre part.

Bruno Latour

Bruno Latour, né en 1947 à Beaune, en Côte d’Or, après une agrégation de philosophie, s’est formé à l’anthropologie en Côte d’Ivoire. Très vite il s’est intéressé aux sciences et aux techniques. Son premier livre La vie de laboratoire (1979 pour la première édition anglaise ; traduit en six langues) décrit le fonctionnement quotidien d’un laboratoire californien en utilisant des méthodes ethnographiques. Il a travaillé ensuite sur les liens entre la révolution de Pasteur et la société française du 19° siècle (Les Microbes : guerre et paix, 1984, traduit en quatre langues).

David Pontille

Les travaux de David Pontille s’inscrivent au croisement des science and technology studies, des workplace studies, et de l’anthropologie de l’écriture. Sa première recherche sur l’authorship en science avait un double objectif : spécifier les critères d’agencement des noms sur les articles scientifiques, identifier des conceptions de l’auteur différentes à la fois de sa définition littéraire et de sa description « comptable » promue en scientométrie.

Madeleine Akrich

Madeleine Akrich a consacré l’essentiel de ses travaux à la sociologie des techniques, en s’intéressant spécifiquement aux usagers : elle a essayé de comprendre comment les innovateurs, concepteurs, promoteurs de dispositifs techniques construisent des représentations des usagers auxquels ils destinent leurs dispositifs et inscrivent ces représentations dans les choix techniques et organisationnels qu’ils effectuent, produisant ainsi des «scénarios» qui cadrent les relations possibles entre les usagers et les dispositifs.