Catégorie : Equipe

Antoine Hennion

Antoine Hennion est entré au CSI en 1974 en tant qu’étudiant à l’École des Mines, avec une bourse de recherche pour étudier l’industrie du disque. Conduit sous la direction de Jean-Pierre Vignolle, le travail portait sur deux petites firmes de…

Cécile Méadel

Cécile Méadel a consacré l’essentiel de ses travaux aux usages des techniques de communication. Historienne de formation, elle s’est d’abord intéressée à la généalogie des médias (radio, télévision haute définition, informatique) en étudiant plus particulièrement la manière dont les concepteurs,…

Bruno Latour

Bruno Latour, né en 1947 à Beaune, en Côte d’Or, après une agrégation de philosophie, s’est formé à l’anthropologie en Côte d’Ivoire. Très vite il s’est intéressé aux sciences et aux techniques. Son premier livre La vie de laboratoire (1979 pour la première édition anglaise ; traduit en six langues) décrit le fonctionnement quotidien d’un laboratoire californien en utilisant des méthodes ethnographiques. Il a travaillé ensuite sur les liens entre la révolution de Pasteur et la société française du 19° siècle (Les Microbes : guerre et paix, 1984, traduit en quatre langues).

Michel Callon

Professeur de sociologie à l’Ecole des Mines de Paris, directeur du Centre de Sociologie de l’Innovation de 1982 à 1994, président de la 4S (Society for Social Studies of Science) en 1998-1999, Michel Callon est, aux côtés de Bruno Latour et John Law, l’un des «fondateurs» de ce qui est appelé l’Actor-Network Theory (théorie de l’acteur-réseau), ou encore sociologie de la traduction. Ses travaux couvrent un large spectre d’intérêts autour des questions relatives aux interrelations entre sciences, techniques et société.

Madeleine Akrich

Madeleine Akrich a consacré l’essentiel de ses travaux à la sociologie des techniques, en s’intéressant spécifiquement aux usagers : elle a essayé de comprendre comment les innovateurs, concepteurs, promoteurs de dispositifs techniques construisent des représentations des usagers auxquels ils destinent leurs dispositifs et inscrivent ces représentations dans les choix techniques et organisationnels qu’ils effectuent, produisant ainsi des «scénarios» qui cadrent les relations possibles entre les usagers et les dispositifs.