
Madeleine Akrich a consacré l’essentiel de ses travaux à la sociologie des techniques, en s’intéressant spécifiquement aux usagers : elle a essayé de comprendre comment les innovateurs, concepteurs, promoteurs de dispositifs techniques construisent des représentations des usagers auxquels ils destinent leurs dispositifs et inscrivent ces représentations dans les choix techniques et organisationnels qu’ils effectuent, produisant ainsi des «scénarios» qui cadrent les relations possibles entre les usagers et les dispositifs.

