Je suis doctorante à la School of Anthropoly and Museum Ethnography de l’Université d’Oxford. Ma recherche se situe à la croisée de l’anthropologie économique, environnementale, et des études sur l’Amazonie. J’observe la rencontre entre une communauté quilombola et une entreprise produisant des crédits carbone, en explorant les ambiguïtés et les imbrications multiples du capitalisme et de la crise climatique. Mon ethnographie me permet d’explorer les interactions complexes qui relient acteurs financiers, rationalités scientifiques, connaissances vernaculaires, créatures enchantées, aux animaux non humais et aux pratiques agricoles du quilombo.